Ramsès - Sous l'acacia d'Occident, Christian Jacq
Après la mort de Nefertari, Iset la Belle devient grande épouse royale. Mais le Hatti, avec lequel un traité de paix avait été conclut plusieurs années auparavant, exige que Ramsès remplace Iset par une princesse hittite sous peine de guerre imminente.
Ramsès refuse de céder à ce chantage mais Iset se sacrifie, et son suicide permet à l'Egypte d'accéder aux vœux de l'empereur hittite et de maintenir la paix.
Malheureusement, ce n'est pas la fin de tous les conflits : Ouri-Tchéoup cherche encore à se venger, Malfi réunit les clans lybiens, ...
Grâce aux fêtes de régénération, Ramsès conserve sa vitalité et continue à diriger le gouvernail du navire avec succès - il lui faut cependant malgré tout réfléchir à sa succession.
Dès le début, ce cinquième tome ressemble à un épilogue, entre autre à cause de l'ellipse qui le sépare du tome précédent.
Ensuite, même si des événements plus ou moins importants sont relatés plus ou moins en détails, de nombreuses années emplissent peu de pages, et ce temps du récit si éloigné du temps de lecture m'a parfois empêché de me plonger véritablement dans l'histoire.
Je suis également lasse des répétitions que je constate d'un tome à l'autre mais également au sein d'un même livre : des expressions ou des descriptions reviennent de manière récurrente.
Même si je garde un souvenir positif de cette saga qui m'aura intéressé à l'Egypte, je n'ai pas adoré cette fin.
😐