Le malade imaginaire, Molière
Argan, qui semble vigoureux, se dit pourtant malade et suit les nombreux remèdes prescrits par son médecin.
Il veut d’ailleurs marier sa fille Angélique a un médecin, Thomas Diafoirus, pour que celui-ci puisse prendre soin de lui. Mais Angélique est épris de Cléante, qui souhaite l’épouser.
Beline, nouvelle femme d’Argan, préférerait quant à elle voir les filles de son mari au couvent pour spoiler leur héritage.
Toinette, la servante, souhaite aider Angélique à épouser l’homme de son choix, au détriment des plans de son père et de sa belle-mère. Y parviendra-t-elle ?
Comme souvent, même si l’intrigue générale me semble une bonne idée, la lecture ne m’a pas été agréable et le dénouement m’a semblé long à venir – pour finir par tomber précipitamment !
La satire des médecins et de la médecine faite par Molière me paraît justifiée pour son époque – le XVIIe siècle – mais beaucoup moins d’actualité maintenant, ce qui enlève peut-être une partie du sel de cette pièce.
Ça n’enlève rien au talent de Molière, mais je n’aime souvent pas lire les transcriptions écrites de son travail.
😐