Hamlet, William Shakespeare
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Le père de Hamlet, qui était roi du Danemark, est mort depuis deux mois environ quand son fils apprend que des gardes ont aperçu son fantôme.
Hamlet va à la rencontre du suspect, qui lui apprend avoir été tué par son propre frère, Claudius. Celui-ci là maintenant remplacer sur le trône il vient d’épouser sa veuve, Gertrude, la mère d’Hamlet !
Le spectre demande à son fils de le venger de son frère Claudius mais sans faire de mal à sa veuve Gertrude. Hamlet s’y résoudra-t-il ? Y parviendra-t-il ?
Moyennement emballée par le fantastique de l’apparition des spectres, je l’ai bien plus été par la qualité de la langue – et certainement de la traduction.
Les jeux de mots, les différents niveaux de langage, sont encore plus intéressants que l’histoire, même si de nombreuses réflexions des personnages m’ont frappé par leur justesse.
La postface semble dire que c’est presque impossible – mais je n’essayais même pas – d’avoir une opinion arrêtée sur Hamlet. Par contre, je comprends celle sur le talent de Shakespeare, qui est encore encensé, depuis quatre siècles !
🙂