Notre-Dame de Paris, Victor Hugo
À la fin du XVe siècle, Esméralda est une jeune bohémienne accompagnée de sa chèvre sur le parvis de Notre-Dame de Paris.
C’est là que Claude Frollo, archidiacre de la cathédrale dont le cœur était pour l’instant seulement plein de science et d’amour pour son jeune frère, en tombe éperdument amoureux.
Quasimodo, bossu difforme et sourd, sonneur de cloches de Notre-Dame, se prend également d’affection pour la jeune fille, car elle lui offre de l’eau lorsque tous le maltraitent au pilori.
Mais la jeune Esméralda est plus que dégoûtée des amours du prêtre, et ne jure que par le général Phoebus, coureur de jupons qui la voit simplement comme une aventure supplémentaire possible.
Le résumé que je viens de vous faire est loin d’être exhaustif, et de nombreux personnages, comme Jehan, le jeune frère de Claude, le philosophe Pierre Gringoire, la vieille du trou aux rats, etc. en sont absents. Omissions nécessaires pour éviter un paragraphe beaucoup trop long.
Donc ma première constatation est celle d’une intrigue complète, prenante, aux personnages complexes - même si j’en retiens un peu que tous les hommes sont mauvais et les femmes idiotes…
J’ai beaucoup moins adhéré aux discours sur l’architecture, qui ne m’intéresse pas, et aux descriptions de Paris, que je ne connais pas assez.
La fin, que je tairai pour ceux qui l’ont oublié, m’a aussi déçue : le titre du dernier chapitre m’avait induit en erreur, et j’aurais préféré l’idée de fin qu’il me suggérait.
Un grand classique, l’écriture fluide et appréciable d’Hugo, font que je vous conseille cette lecture.
🙂